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Connaitre sa valeur permet de mieux parer les attaques.

Eh beh ! Il aura suffi que je laisse le mot « coach » dans un commentaire sous une publication, sur un réseau social, pour que certain-es de mes homologues se sentent suffisamment menacé-es pour sortir griffes et crocs, s’employer à me dénigrer publiquement et s’efforcer de me discréditer aux yeux des autres lectrices et lecteurs.


Toi, qui me connais bien ou qui commences à bien me connaître, tu sais déjà ce qui s’est passé. Je ne me suis pas laissé démonter et je les ai remis à leur place. Gentiment, poliment et élégamment, comme je sais si bien le faire.



Ce que je ne leur ai pas dit (parce que cela m’aurait pris beaucoup plus de temps que ce que j’avais prévu de leur consacrer), c’est que quand on a suffisamment confiance en soi, quand on connaît sa valeur et l’étendue de ses capacités, on ne sent pas aussi facilement menacé-e par la concurrence et on n’éprouve pas le besoin de rabaisser les autres, que ce soit en public ou en privé, que ce soit dans la vraie vie ou sur les réseaux sociaux.

Je me serais attendue à cela sur Twitter, Facebook ou Instagram. J’avoue avoir été surprise que cela se passe sur LinkedIn.


La vérité, c’est que quel soit l’endroit où tu iras, tu trouveras des personnes qui essaieront de semer le doute en toi. Souviens-toi juste qu’elles se comportent ainsi parce qu’elles doutent surtout d’elles-mêmes.



Quel que soit le domaine professionnel dans lequel on choisit d’évoluer, il me semble évident qu’il y ait de la concurrence. Cela ne me choque pas et ne me surprend pas de croiser ou de rencontrer d’autres coaches. Au contraire, je trouve cela formidable, intéressant, parfois même très enrichissant. En vérité, je suis bien contente que nous soyons nombreux-ses à vouloir être ainsi au service des autres.

Je vois mes homologues comme des collègues, avant de les percevoir comme d’éventuel-les concurrent-es. Idem pour les autres psychopraticien-nes ou les psychothérapeutes.

Je n’hésite pas, le cas échéant, à en recommander certain-es et à réorienter vers elles/eux, les personnes qui viennent à moi avec une problématique qui n’est pas de celles sur lesquelles que je travaille.



Quand on m’a dit d’étudier la concurrence, j’ai regardé à droite, j’ai regardé à gauche et j’ai dit : « OK, il y a beaucoup d’autres coaches, mais je doute que beaucoup ait un parcours de vie comme le mien. » Mais, même avant d’avoir vécu tout ce que j’ai vécu, je ne me suis jamais définie par rapport aux autres. Moi, je me définis par rapport à mes valeurs, par rapport à mon éducation. Je me définis par rapport à mon chemin de vie et à la direction que je souhaite donner au reste de mon existence.

Je ne me suis donc jamais placée en compétition avec qui que ce soit. Pour moi, ce n’est ni plus ni moins qu’une perte de temps, car avant d’être une coach de vie, une Maman, une femme, une Noire ou quoi que ce soit d’autre, je suis d’abord un être humain. Et mon premier objectif, sur cette planète et dans cette vie, est d’être quelqu’un qui se sent bien. Il est donc hors de question que je laisse qui que ce soit me chercher des poux dans ta tête.



Quand Véro Vanrechem et moi, nous t’avons présenté « Mon année pimentée 2021 », en janvier dernier, nous t’avons aussi parlé de confiance en soi et d’affirmation de soi. Nous t’avons dit que pour arriver à ces deux niveaux là, il fallait commencer par développer sa connaissance de soi.

Ce mois-ci, nous parlerons donc foi en soi et valorisation de soi. C’est l’étape intermédiaire.


Quoi qu’il arrive, prends grand soin de toi.


 

Si tu as aimé cette publication, laisse un petit cœur un peu plus bas ou dis-le moi en commentaire.


Pense à la partager, aussi, si elle t'a fait penser à quelqu'un qui aurait besoin de la lire.




Découvrir Mon Année Pimentée, le guide pratique de développement personnel.

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