Bonjour, Ancienne Collègue !
Dernière mise à jour : 28 déc. 2020
J’avoue ne jamais avoir bien compris pourquoi certaines personnes prenaient sur le temps précieux qu’elles ont à vivre, pour scruter le Net à la recherche de ce que font d’autres personnes.
J’avoue comprendre encore moins pourquoi certain-es de mes anciennes collègues, après avoir tout fait pour se débarrasser de moi ou rien du tout pour me venir en aide, quand j’en avais grand besoin, continuent de parcourir mes réseaux sociaux, sans même prendre la peine de le faire incognito.
Idem pour certaines personnes qui « étudient » scrupuleusement toute ta « vie », au lieu de te poser simplement la question dans le cadre d’un premier rendez-vous galant...
J’avoue ne pas comprendre du tout, parce qu’en ce qui me concerne, j’ai déjà tellement à faire avec ma propre vie que je n'éprouve nullement le besoin d’aller farfouiller dans celle des autres.
Et puis, je trouve tellement plus intéressant, plus chaleureux et plus humain de prendre des nouvelles de quelqu’un, directement.
Bref, essayons ensemble d’explorer les raisons qui poussent ce genre de personnes à développer, puis entretenir ce type de comportements. Concentrons-nous sur le cas de ces ancien-nes collègues.
La première pensée qui me vient (de mon ego) est que je leur manque !!
Eh oui, j’étais tellement super ! Toujours agréable, avenante, souriante... du moins, au début... avant les trahisons successives.
Et puis, surtout, je faisais de l’excellent travail ! Le mien et parfois même le leur. Et ça leur allait bien ! Il n’y a qu’à voir ce que c’est devenu, depuis que je ne suis plus là, pour couvrir leurs arrières...
J’étais la bonne bouc émissaire à l’ombre de laquelle on pouvait aisément se cacher parce que plus grande, plus grande gueule, parce que plus digne et moins lèche-cul. Celle qui assumait pleinement ses responsabilités et entièrement ses rares erreurs, quand, elles et ils, faisaient tout pour camoufler les leurs ou faire accuser quelqu’un d’autre...
Ma seconde pensée est qu’elles et ils n’en ont pas eu assez de me martyriser !!
Elles et ils doivent avoir besoin de savoir où j’en suis et si je « galère », étant donné que c’était leur principal souhait, peu de temps avant mon départ.
Peut-être qu’elles et ils ont même espéré que je meurs, un jour ?
Je vais les rassurer : d’une certaine façon, je le suis. En partie grâce à elles et eux, je ne suis plus la même et je ne le serai plus jamais.
Peu à peu, j’étais devenue la femme qui en savait trop, celle qui savait qui valait quoi, la femme à abattre, à tout prix, pour garder sa bonne petite place, non méritée.
Ou alors, c’est encore plus perfide que tout cela et là, malgré tout mon bon vouloir, ma qualité d’être humain compatissant, toutes mes autres qualités et compétences, je ne puis et ne souhaite point leur venir en aide.
J’ai déjà aidé plusieurs personnes à aller beaucoup mieux de part et d’autre du monde (la fabuleuse magie du Web), mais ces personnes-là, à qui la honte et le remord se sont peut-être enfin décidés à rendre visite, je ne veux pas les aider. Fut un temps, je l´aurais peut-être fait, mais beaucoup, beaucoup trop de temps a passé. De même, trop de vilaines choses sont arrivées, et aujourd’hui, je refuse catégoriquement.
Que le diable les emporte, toutes et tous, avec ma bénédiction ! C’est tout ce qu’il me reste à leur dire.
Comme je dis souvent : La vie se charge de donner aux gens les leçons qu'ils méritent. Because Karma is a boomerang.
"Je vais bien, ne t'en fais pas !" - Olivier Adam
Les personnes comme moi s'en sortent toujours.
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